Oliver Miller n'a aucune chance, 2pts de "His Airness"!

Que dire de lui? Il n'y pas assez de superlatifs pour le caractériser. Jordan est un dieu du basket, ni plus, ni moins. Que dire de ça: Rookie of the Year 85 (28.2pts, 6.5rds, 5.9asts, 2.39st, 51%), 5 fois MVP (88,91,92,96), 10 fois élu dans la All NBA 1st Team, 10 fois meilleur scoreur NBA (7 fois de suite), Defensive player of the Year 88, 9 fois dans la NBA All Defensive 1st Team, 6 fois champions NBA, 6 fois MVP des finales, 10 fois All-star (3fois MVP), meilleur scoreur de tous les temps en playoffs (5762pts), 3ème meilleur scoreur de l'histoire de la NBA... La liste est longue, Jordan ce n'est pas seulement la scoring machine qu'on connaît c'est LE clutch player par excellence et dans le money time s'il y a un panier à rentrer, il le marquera et encore plus de cela c'est un leader. Qui se souvient qu'en 83 (l'année précédant l'arrivé du jeune prodige de North-Carolina), les Bulls n'ont remporté que 28 victoires et que grâce à lui (pas seulement mais il y a beaucoup contribué) Chicago a réalisé 2 Three-Peat. Où sont les gens qui disaient, en début d'année, que Jordan avait fait la saison de trop: 3 fois Player of the Week, 2 fois Player of the Month, il a scoré 10 fois plus de 40pts et en Finale qui marque le panier de la victoire et plante 45 pts contre les Jazz pour remporter son 6e titre? Lui encore. Jordan est le Julius Erving des années 90 et un des plus grands compétiteurs que le sport n'est jamais connu.

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